• Un retour possible ? :)

    Et puis zut si ça s'affiche pas comme je veux >_<

    Plus de nouvelles à venir pour celles qui ne m'ont pas oublié :)

     

     


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  • Au départ je voulais poster un article qui n’avait rien à voir (même si c’était aussi un article blabla) mais une autre idée m’est venue à l’esprit. Je ne tiens cependant pas à créer de débat ou de conflit autour de ce thème, juste à faire partager mon opinion car je me pose certaines questions au sujet des libertés autour de la cigarette.

    Je n’ai pas besoin de faire un rappel sur les effets négatifs pour fumer, les campagnes de prévention sont là pour ça. D’autant, je ne pense rien vous apprendre de nouveau. Non le but de sujet n’est pas de convaincre les fumeurs, ça ne changera absolument rien au point de vue de chacun.

    Fumer, une gêne pour les autres ?

    (Image provenant d'une page Facebook)

    Je souhaite parler de l’attitude et du respect entre fumeurs et non fumeurs. Pour vous mettre dans ma situation, je suis non fumeuse avec quelques soucis qui me font tourner de l’œil dès qu’un fumeur me souffle sa fumée dans la face (ou dans ma direction).

    Malheureusement je me demande toujours si les gens qui fument se rendent compte des effets négatifs qui se produisent autour d’eux.

    Prenons un exemple bête. Jour de pluie, déluge au-dessus des têtes. L’action se situe sous un arrêt de bus en attendant que le véhicule arrive. Parfois, et ça je le remarque quand même à chaque fois, un fumeur allume sa cigarette pour patienter.

    Mais cette personne là a-t-elle pensé à la gêne qu’elle pouvait représenter pour les personnes présentes ? Un abribus est un espace assez petit, où parfois il faut s’entasser pour éviter de se retrouver sous la pluie. Mais est-ce que la personne fumeuse se pose-t-elle la question de savoir si elle gêne les autres ou non ? Ou peut être attend-elle qu’on lui en parle gentiment ?

    J’ai comme une mauvaise impression que, en demandant poliment d’aller fumer à l’extérieur parce que c’est dérangeant ou d’éteindre sa cigarette, le non fumeur peut passer pour un enquiquineur. Je n’ai jamais fais le test mais je ne tiens pas non plus à avoir de problèmes, certaines personnes semblent plus ou moins rassurantes. (le gars baraqué, pas vraiment enclin à la discussion par exemple)

    De plus, demander c’est se faire remarquer. Des réflexions pensées comme « Ohlala… c’est quand même pas la mort… » ou « Il/Elle (le fumeur) ne fait rien de mal » même si pour un non fumeur ça peut être sacrément dérangeant de supporter la fumée dans un espace aussi restreint.

    Alors généralement, c’est la technique du « Je me tais et j’attends sous la pluie ou bien loin du fumeur ». Pourtant, je pense que ça devrait être le contraire. Chacun est libre de faire ses propres choix mais en faire profiter les autres qui ne sont peut être pas d’accord mais n’osent pas en parler de peur de créer les histoires, ça serait quand même illogique.

    Dans un espace public, il faut savoir cohabiter, se supporter et surtout, respecter ses voisins. La cigarette étant reconnue pour ses effets néfastes, ce n’est pas comme si la personne tenait un bouquet de fleurs parfumées quand même. Alors moi ça m’attriste un peu.

    Même quand il ne pleut pas, un fumeur qui ne se gêne pas, va se placer au milieu de la foule et tirer sa cigarette sans penser aux autres. Alors faut-il que les non fumeurs, les enfants, les femmes enceintes se décalent juste parce qu’un fumeur a décidé de partager son air ? Je me pose la question.  On dira bien, ce n’est pas tous les jours, ni en permanence. Mais juste pour le geste, y a-t-il réellement une conscience pour ceux qui agissent de cette manière ? (Sans vouloir offenser personne)

    D’autre part, voici la petite anecdote qui m’a inspiré ce sujet.

    Je me rendais à mon cours d’équitation. Les chevaux attribués sont inscrits sur une feuille dans une salle qui fait office de coin de discussion, un espace fermé donc. Il arrive que les élèves s’arrêtent pour discuter avec les moniteurs de temps à autre quand ils sont présents, avant d’aller préparer les chevaux.

    Alors qu’une discussion animée était engagée, et moi bien sûr qui ne voulait pas passer pour une asociale je restais pour écouter et participer, une des élèves, adulte, la cinquantaine, dégaine une cigarette tout en discutant et l’allume. Whaaa… excusez moi mais étant dans un espace clos, sans air, j’ai été assez surprise. D’autant plus qu’il y avait quelques jeunes filles présentes.

    Soit je passais pour la fille dérangeante en expliquant poliment à cette dame que la fumée me dérange et me fait tourner de l'oeil, soit je trouve un prétexte pour sortir. Connaissant cette dame déjà assez grincheuse en temps normal, j’ai préféré m’éclipser, quitte à passer pour une fille asociale. 

     Je n’ai pas ouvert ma bouche pour une raison. Déjà, cette dame est une grincheuse et elle s’autorise certaines libertés et réflexions parce qu’elle est très souvent présente donc familière avec les responsables du centre équestre (alors entre la petite jeunette qui assiste à son cours une fois par semaine et la madame qui a son cheval en pension, y a peut être une différence). De plus, elle est mon aînée de plus de 25 ans. En tant qu’aînée, je voyais bien venir un regard hautain ou une expression pouvant bien indiquer que je n’avais pas mon mot à dire. Comme si je refusais ou que je pouvais la gêner dans son petit plaisir, même si ce n’était vraiment pas le but de mon action. Donc, je suis sortie, sans créer d’histoires, ou plutôt, j’ai fui pour ne pas subir un tabagisme passif dans un lieu clos.

    Est-ce que j’aurais du faire preuve de plus d’assurance au risque de passer pour une fille enquiquinante ? J’aurais pu tenter oui. Mais je ne cherche pas à attirer les problèmes non plus même si je suis passive.

    Cependant, on peut toujours trouver des solutions pour éviter de passer pour une asociale. Par exemple, fumer à l’extérieur ne me dérange pas si je peux me placer dans le sens contraire du fumeur. C'est-à-dire, à l’opposé de la direction du vent. D’ailleurs je l’ai souvent fait à mon travail et cela me permettait de discuter avec les autres sans être incommodée ou mise à l’écart.

    Je termine cet article par une ouverture et appel aux commentaires car votre avis m’intéresse beaucoup. Encore une fois, je ne tiens pas à m'attirer des foudres, je me pose cette réflexion et c'est toujours bien d'avoir d'autres paroles sans que cela ne devienne un sujet sensible.

    Si vous êtes une fumeuse, est-ce qu’il vous arrive de fumer dans un lieu clos au milieu de non-fumeurs ? Pouvez-vous vous abstenir de ce geste en attendant un bus sous la pluie ou attendez-vous qu’une personne vous demande gentiment d’éviter ?

    Si vous êtes une non-fumeuse, supportez-vous être envahie par la fumée ? Avez-vous la confiance de demander à une personne d’arrêter si ça vous gêne ? Ou bien vous faites comme moi et vous vous décalez en silence ?

    A vous la parole :)


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  • Commençons la semaine avec le défi de MyBeauty Québec, qui nous proposait cette fois de dévoiler nos parfums préférés en soins ou produits de beauté. C’est parti pour ma tournée des senteurs !

    Quand on parle d’odeur, je pense tout de suite aux parfums, ceux que l’on met avant de sortir et qui nous recouvre d’une odeur délicate d’une de nos senteurs préférées.

    Pourtant, je ne suis pas trop parfum. La première fois qu’on m’a offert du parfum, je devais avoir 15 ans. Mais j’ai toujours trouvé ça bizarre et fortement incommodant d’avoir une odeur différente sur la peau. Peut être parce que je n’ai pas testé les bons parfums mais j’ai du mal à devoir garder la même odeur toute la journée. (Certains me donnaient même mal à la tête !)

    Quand j’étais plus jeune, il y en avait un que je mettais de temps en temps (et qui ne doit peut être plus existé). Je trouvais l’odeur plutôt agréable, une sorte d’eau de parfum fraîche, pas trop fleurie, pas trop sucrée. Dommage que le parfum était un peu trop fort. Il y avait aussi l'eau florale Ming Shu d'Yves Rocher que j'ai bien apprécier aussi.

    Parfums en fête

    (Un de mes premiers et seuls parfums. Nostalgie ^^)

    En ce qui concerne les produits et les odeurs, je dois dire que c’est une vaste question ! Tout dépend si c’est trop fort ou léger, trop chimique ou naturel.

    Je n’ai pas vraiment de préférence, je peux aimer un parfum ou une odeur en fonction de la quantité des composants. Par exemple, si je n’aime pas trop l’odeur des produits au chocolat, il peut m’arriver quand même de craquer sur un produit en particulier car la composition me plaît (à l’odorat bien sûr)

    Cependant, si je devais citer deux de mes parfums préférés, je dirais la vanille et le monoï pour la sensation des îles qui fait penser aux vacances d’été. J’aime aussi beaucoup les odeurs des produits Lush et je n’ai pas encore été déçue à ce niveau là.

    Parfums en fête

    (Une graisse que j'utilise parfois en été qui rend la peau brillante et souple)

    Parfums en fête

    Dans les parfums que j’ai du mal à supporter, ça serait la lavande et l’abricot. On dit que la lavande aide à se relaxer, se détendre, moi j’ai vraiment du mal avec ce parfum.

    Pour l’anecdote, à mon travail on avait un gel pour les mains de Casino à la lavande. Et bien, l’horreur était vraiment atroce ! En plus d’assécher les mains, on n’avait vraiment pas l’impression d’avoir une odeur de lavande. Comme quoi tout dépend du produit, de la marque, des composants.

    Pour l’abricot, j’ai déjà du mal avec ce fruit et j’ai eu une très mauvaise impression avec le gommage abricot d’Yves Rocher, trop fort à mon goût.

    Enfin, je ne suis pas du genre à arrêter un produit à cause de son odeur. Du moins je n’ai pas encore été confrontée (du moins récemment), a une odeur tellement forte que cela me bloque. Je ne suis pas du genre à gaspiller alors je fais attention à bien utiliser tout le flacon même si l’odeur est un peu dérangeante, la seule chose qui peut me freiner est un effet gênant (rougeur, allergie…).

    J’aime découvrir de nouvelles senteurs et laisser mon nez s’exprimer, c’est peut être un peu particulier mais j’aime faire comme ça.

    Voilà pour le défi ! N’hésitez pas à laisser les vôtres :p Et pour celles qui n’y participent pas, quels sont vos parfums préférés ?

    Opération Minceur

    Poids de départ : 58.8kg
    Poids Semaine dernière : 55 kg
    Poids actuel : 55kg

    Le mot de la semaine : Aaaaah ! C'est pas possible pourquoi ça va pas redescendre plus bas x_x Cette barre des 54 kilos est dure à atteindre mais persévérons persévérons << 


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  • Coucou les filles !

    Désolé encore pour ce retard je vois que je recommence à manquer d'organisation au quotidien (bouuuh *mode honteuse activée*) Mais qu'à cela ne tienne ! J'ai déjà préparer les articles pour les prochains jours :p

    Parlons aujourd’hui d’une nouvelle expérience chez l’esthéticienne. Chaque mois je m’offre un soin par plaisir et aussi par curiosité. Comme le mois dernier j’avais choisi un modelage sucré salé pour le corps, cette fois-ci j’ai décidé de m’occuper du visage.

    Alors quoi de mieux qu’un masque au miel, rappelant douceur et confort par ce temps couvert.

    Un masque chez l'esthéticienne au gout de miel

    (Image trouvée sur Pupaza.cl)

    Déroulement de la séance

    Avant de commencer le soin, mon esthéticienne me donne quelques informations sur les propriétés du miel. C’est toujours utile d’en apprendre un petit peu et puis ça donne des idées.

    Le miel est considéré comme un bon antiseptique, éliminant les rougeurs et apportant souplesse et tonicité à la peau. Son odeur est très appréciée pour son petit côté gourmand et sucré. Les produits utilisés pour ce soin viennent de la marque Couleur Caramel.

    Pour commencer, l’esthéticienne applique une eau parfumée au miel afin de préparer la peau à recevoir les futurs soins.

    Ensuite, elle applique un gommage, une sorte de pâte sur tout le visage. On sent bien l’odeur du miel même si je trouve que ce n’est pas un miel complètement sucré (style les Miels Pops :D) mais vraiment un miel, je dirais presque artisanal, neutre.

    Personnellement j’ai toujours du mal avec les gommages à cause de ma peau sensible. J’ai quand même constaté des sensations de picotements sur mon visage et mes joues. Ca je m’y attendais un peu et je ne peux pas y faire grand-chose, ma peau réagit de cette manière. Même si ça donne une sensation un peu de rougeur, la suite du soin a aidé à la faire disparaître.

    Le gommage fut laissé au repos pendant quelques minutes sur tout le visage, le temps que les propriétés agissent.

    Après le nettoyage du gommage, toujours avec cette eau parfumée au miel, l’esthéticienne met une sorte de crème hydratante et grasse. Un massage du visage, cuir chevelu et buste pour aider à la détente. J’ai trouvé ce moment très agréable. Encore une fois il faut aimer mais je trouve que c’est intéressant quand cela ne dérange pas de recevoir le massage.

    En effet, même en appréciant me masser moi-même, il faut reconnaître qu’on ne peut pas non plus profiter pleinement, puisque nos muscles des doigts et des bras sont occupés à masser. Alors se laisser faire, c’est s’aider à se laisser aller et profiter d’une détente sans bouger les doigts. Même si on peut parfaitement se détendre soi-même je n’ai pas dis le contraire ;)

    J’ai l’impression que ce soin hydratant apporte à ma peau une couche supplémentaire qui aide à la rendre plus souple, plus détendue, bref beaucoup de bien.

    Enfin, après un petit temps de repos, l’esthéticienne applique le masque avec un pinceau. Et je dois dire quand même que c’est ma partie préférée. Surtout à cause de l’odeur, c’était très agréable même si le masque était frais. Un mélange de miel et d’amandes, miam ! J’ai l’impression d’avoir eu une petite douceur, très agréable. Aussi bien pour ma peau que mon bien être.

    Le masque est laissé pendant une dizaine de minutes, des bouts de mouchoir sur les yeux parfumés à l’eau au miel. Puis, il est nettoyé très délicatement toujours avec cette eau au miel.

    Ca fait toujours plaisir de sentir la couche du masque partir. Je sentais ma peau plus fraîche, plus douce et reposée. Une sensation très agréable, un bon moment à passer.

    L’esthéticienne passe une dernière fois la crème hydratante mais une couche beaucoup plus légère que la première pour achever le soin.

    Effets et Impressions

    En conclusion, moi qui avait peur d’une peau rouge et tirée, désagréable, je suis tout à fait satisfaite de ce soin qui m’a fait beaucoup de bien. Malgré un début de gommage qui picote sur la peau. On voit tout de suite que la peau est en meilleure santé, une meilleure mine même si je ne suis pas malade. En revanche, moi qui m’attendait à du miel sucré/gourmand, je n’ai pas senti cette sensation. On a bien du miel mais sans exagération sur la dose de sucre. Je pense rajouter le miel dans ma liste de soins à utiliser, car l’action antiseptique et l’effet contre les rougeurs est vraiment là.

    Je trouve aussi que le miel est idéal en cette saison entre l'automne et l'hiver, apportant confort et chaleur à la peau tout en l'aidant à lutter contre la sécheresse de la peau à cause du froid.

    Avez-vous des soins avec du miel ? Qu’en pensez-vous ?


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  • Je ne vais pas parler beauté ni santé aujourd’hui mais un peu de mes pensées actuelles. Il paraît que coucher sur papier des choses qu’on n’arrive pas à retirer de sa tête, cela aide à faire le vide.

    Voilà, j’en ai déjà parlé au passage dans des articles par ci par là mais pour l’instant, je suis en mode pause. La raison est que d’ici deux mois je vais partir m’installer en Suisse avec mon copain. On pourrait dire que c’est une bonne pause hein et que je peux en profiter pour m’occuper de moi, mettre des affaires en ordre et commencer à me préparer aux démarches administratives en Suisse mais ce n’est pas si simple que ça.

    Une nouvelle vie pour bientôt... Moments de réflexion

    Et ouiiiii toutes les raisons sont bonnes pour stresser (pas vrai Obsidienne ? :p).

    Je stresse peut être pour des mauvaises raisons, mais le stress indique aussi, dans certaines situations, que les raisons montrent que ces pensées / idées / projets nous tiennent à cœur. (Je ne parle pas ici du stress de la procrastination où on se dit « Whaaaa ! J’ai encore tout ça à faire et je n’en suis même pas à la moitié de ce que j’avais prévu dans la journée, au secours x_x »).

    La raison de mon stress est l’installation en Suisse et surtout pour l’instant l’admission à une université.

    En effet, cherchant à améliorer mes compétences et connaissances, j’ai pensé que le meilleur moyen pour montrer patte blanche afin de travailler en Suisse est de faire ses preuves. De plus quand je consulte les annonces, je vois souvent marquer d’avoir de bonnes connaissances en allemand, ce que je n’ai malheureusement pas. (Même si aujourd’hui je me remercie d’avoir choisi allemand plutôt qu’espagnol au collège).

    Alors, toute heureuse, je me suis dis que j’allais tenter d’avoir un diplôme supplémentaire, qui lui serait bien reconnu en Suisse et cela prouverait ma bonne volonté à m’adapter dans ce nouveau pays.

    Mais voilà, en regardant les conditions d’admission, je vois qu’il faut avoir une moyenne de 12/20 à un BAC général OU justifier deux ans d’études académiques supplémentaires dans une université reconnue par Fribourg.

    Et là… le stress monte. C’est là où je me rends compte que d’avoir joué la rebelle à la période lycée me retombe dessus (mais  qui aurait pu dire que je partirais en Suisse ?). Quant aux deux ans d’études, je peux compter sur mon BTS oui mais voilà le BTS ça ne se prépare par dans une université. Aïe ! Aïe ! Comment je vais être reconnue alors ?

    J’ai essayé de me renseigner sur internet, est ce qu’un BTS serait suffisant pour accéder aux études supérieures ? Avec le nouveau système LMD (Licence – Master – Doctorat), il paraît que ça devient possible d’accéder à une licence avec un BAC + 2. Donc le BTS pourrait fonctionner… ou pas ! Selon le bon vouloir de l’université.

    Cependant, afin d’être sûre de faire le bon choix dans la branche d’études choisie, je vais me rendre à Fribourg dans un mois afin de participer à la journée d’informations. Je pourrais déjà confirmer mon envie ou non de faire ces études (parce qu’il y a des maths et les maths m’ont toujours rebutée) et ensuite me rendre au service d’admission avec l’espoir d’avoir un peu plus d’informations.

    Une nouvelle vie pour bientôt... Moments de réflexion

    Mais là aussi je ne suis pas sûre. Peut être qu’on ne me communiquera pas de réponse. Là il faudra attendre le mois d’Avril avant d’avoir une confirmation (ce qui est biiiiiiiien long !). Ou peut être qu’on me dirait « Effectivement ce ne sera peut être pas totalement reconnu ». Ce qui signifie un test supplémentaire pour savoir si je peux intégrer l’université ou pas.

    En plus de son prix qui aurait tendance à donner l’envie de faire machine arrière, je me suis aussi renseignée dans le cas où je ne pourrais pas m’y déroger. Les épreuves ? Français (Du gâteau), Anglais (Aïe ! Vu ma note à l’écrit au BTS hem…), Maths (Aaaaaaah ! Ca va bien faire trois bonnes années que je n’ai pas eu de maths ! Mais positivons, il me semble que j’ai eu une bonne note aux maths de mon BAC pro secrétariat).

    Bref, même si je vais tout faire, tant qu’on n’a pas de résultat, un doute subsiste. Mais bon, ma pensée devrait plutôt être de positiver jusqu’au bout et de ne rien lâcher tant que je n’ai pas de réponse. L’espoir fait vivre et je croise les doigts.

    Mais d’ailleurs, pourquoi continuer à l’université alors que je comptabilise des années d’expérience, des diplômes ?

    La première raison, parce qu’après avoir réfléchi, je ne compte pas m’arrêter là. Je veux vraiment avoir la possibilité d’avoir une vie confortable, être reconnue dans mon travail et surtout pouvoir ouvrir plusieurs portes. Ces trois années me permettront de mettre en pratique mon allemand afin de me perfectionner et de pouvoir l’utiliser chez un futur employeur.

    L’université est bien placée, les cours sont bilingues et on croise apparemment des Suisses Allemands, des Suisses Romands et des Suisses Italiens. Voilà de quoi perfectionner ma pratique au quotidien !

    Je pense aussi à mon frère (plus jeune que moi ><) qui après son BTS, n’a pas voulu se contenter de ce diplôme. Il a décidé d’entrer dans une école supérieure afin de prétendre au rang de cadre. Moi qui le voyait comme un gamin immature, mon avis a bien changé quand on voit son investissement. C’est impressionnant, c’est lui le plus jeune et pourtant maintenant je l’admire.

    Parce qu’il est parti au Canada pour continuer ses études tout en ayant un travail rémunéré à côté. En combinant les deux, il nous parle des voyages et sorties qu’il fait, je dois dire que ses photos me font rêver ! Il va aller à San Francisco, s’intéresse de plus en plus à son futur métier et peut être qu’il a aussi l’intention de voyager en Australie pour voir comment ça se passe là bas. Quand je vois ses mails, je ne peux qu’être contente pour lui et me dire que les études supplémentaires que je mettrais à profit me serviront pour après.

    Je pense aussi à la vie sociale là bas. En effet, étant nouvelle, j’aurais aussi envie de me faire de nouvelles connaissances. Ce qui n’est pas évident non plus de trouver des personnes dans sa tranche d’âge dans une entreprise quand même. L’université me permettra de faire des rencontres, peut être qui dureront ou pas. J’ai envie de me sentir intégrée.

    Enfin, je suis aussi consciente qu’accepter d’étudier en Suisse, c’est aussi avoir une expérience professionnelle réduite (mais je travaille dessus, je suis tombée sur des alternatives intéressantes) et aussi, attendre 3 semestres avant d’avoir une validation pour 15 h de travail par semaine maximum. Mais je compte plutôt mettre à profit les périodes de vacances pour le travail.

    Cependant, il faut que je tienne compte d’une chose. Lorsque je suis chez moi en mode pause, j’ai tendance à avoir envie de retourner dans les études, c’est ce qui m’est arrivé avec mon BTS. Malheureusement même si j’étais très motivée les premiers mois, la charge de travail m’a vite fait déchanté.

    Surtout parce que j’habitais loin de l’école et de l’entreprise (au moins une bonne heure de route), que je perdais dans les transports en commun ou/et la voiture. Que quand je rentrais, je n’avais pas forcément la tête à réviser (faut bien se reposer avant <_<) et qu’au final j’en faisais le moins possible.

    L’avantage de la situation de l’université, c’est que même si elle n’est pas sur place, je mettrais quand même moins de temps pour m’y rendre, et puis les heures de trou pourront être mises à contribution, il faut bien que ça serve. Si je commence l’université il va me falloir de la volonté, ne pas perdre ma motivation et surtout de l’organisation.

    Voilà pour les informations !

    Pour finir, voici un petit dialogue charmant que j’ai eu avec une personne de mon Académie par téléphone. A la base, je voulais avoir des informations pour savoir où retirer mon diplôme, comme mon école a fermé ses portes, je ne sais pas si je dois faire une demande écrite ou me déplacer. Je voulais aussi savoir la date exacte ou approximative pour aller chercher le diplôme (la seule info qu’on a est Novembre). Voulant aller vivre en Suisse, la date est très importante pour moi, je ne peux pas me permettre d’attendre.

    Accueil de l’Académie

    -          - Bonjour, j’aimerais avoir des informations pour retirer mon diplôme s’il vous plaît.

    -          - Quel diplôme ?

    -          - BTS

    -          - Quelle année ?

    -          - 2012

    -          - Ne quittez pas je vous passe le service concerné

    Nouvelle personne qui se présente

    -          - Bonjour, j’aimerais avoir des informations pour retirer un BTS s’il vous plaît et…

    -          - Pardon ? Vous voulez retirez un quoi ? (là ça commence il me coupe la parole…)

    -          - Heu… Un BTS… (Ayant déjà donné cette information à l’accueil, il me semblait évident que j’étais en relation avec une personne chargée des BTS uniquement)

    -          Un BTS ?

    -          - Oui ! Un BTS d’Assistante de Gestion

    -          - Mais c’est quoi un BTS ?

    -         -  C’est un diplôme…

    -          - Donc vous venez retirer un diplôme, pas un BTS ça se dit pas.

    -          - Heu oui… désolé… (tout un cinéma et une perte de temps parce que je disais BTS au lieu de diplôme… Ca va quoi ! Pour faire ch***)

    -          - Vous venez retirer un diplôme de quoi ?

    -          - Heu… un BTS Assistante de Gestion mais je… (Et voilà que je répète ce que j’avais dis précédemment)

    -          - De quelle année ?

    -          - Cette année mais…

    -         -  Aaaah mais vous savez les diplômes BTS de cette année ne sont pas encore édités ! (Noooon je le savais pas !)

    -          - Oui mais je le sais ça ! Mais j’aimerais savoir si…

    -         -  Nous ne pouvons rien faire pour vous pour le moment il faut attendre (blablabla)

    -          - Non mais laissez moi vous expliquez ma situation ! Mon école a fermé donc j’aimerais savoir si… (en sachant que pendant cette phrase il parlait en même temps que moi, ayant peur qu’il raccroche j’ai insisté sans l’écouter, il ne voulait pas entendre mon explication au départ)

    -          - Quelle est votre école ?

    -          - (Nom de l’école)

    -          - Aaaah mais vous savez, nous n’enverrons certainement pas les diplômes à cette école. (Encore heureux que je le sache, c’est la raison pour laquelle j’appelle >_<)

    -          - Heu… oui mais justement ! La seule chose que j’aimerais savoir c’est comment ça marche dans ce cas là ? Je dois…

    -          - Soit vous venez le chercher au rectorat, soit vous envoyez un formulaire sur le site, vous voyez où c’est ?

    -          - Bien sûr, j’en viens…

    -          - Voilà.

    -          - Bon ben…merci bonne journée.

    -          - BIIIIP BIIIIIP. (abruti…)

    Peut être que tout le monde n’est pas comme ça mais j’ai vraiment eu l’impression de passer pour une débile. Ayant eu des cours de communication, le gars a tout faux. Et ce n’est pas parce qu’on se trouve dans une structure publique qu’on accueille les gens en leur coupant la parole de cette manière.

    Cependant, voyons le bon côté des choses, c’est un exercice idéal pour voir ce qu’il ne faut surtout pas faire et comment agir dans ces conditions (même si sur le coup après avoir raccroché, j’étais surtout énervée).

    Maintenant à vous la parole ! Des études en vue ? Ou du travail ?


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